Philippe Ep 01 : Ca Commence Bien !

PHILIPPE
EP 01 : CA COMMENCE BIEN !


Bon ! C'est vrai que la location de la piaule avait coûté un peu cher mais franchement j'en n'avait rien à foutre. J'avais dégainé la carte de crédit, c'était l'arme absolue. A l'entrée le mec avait voulu me demander ma carte d'identité mais quand il avait vu la '' Carte Maîtresse '' toute neuve il avait finalement renoncé … C'est vrai que je parais un peu jeune, mais c'est parce que je le suis. Et je ne vous cacherai pas que disposer d'un crédit presque illimité à mon âge … C'est le pied !

Je viens de fêter mes Dix sept ans ! Mon grand père m'a fait cadeau de cette merveille … Franchement le mec qui a inventé la carte de crédit était le plus grand génie de tous les temps. J'adorrrrrre ! Oui je sais il y a trop de '' r '' mais c'est fait exprès. C'est franchement génial !

On peut entrer partout avec ce genre de truc, on était douze au resto. Je ne vous dis pas, quand ils nous ont vu arriver il y avait comme une réaction de … refus … oui de refus mais quand j'ai dégainé la carte d'or, c'était le feu vert. On nous faisait des courbettes. C'est avec un grand sourire que le patron du resto a tenu à s'assurer que la carte était valide puis le sourire n'était plus … C'était un sourire ébahi, je suis sûr qu'il aurait viré tout les clients du resto si je lui avait demandé …

J'avais commencé par commander six bouteilles de champagne … Et du meilleur … Six autres avaient suivi avant même qu'on ait commencé à manger … Mon père avait un peu râler quand j'ai reçu la carte de payement … Il faut vous dire qu'il n'est pas commode le vieux. Mais mon grand père, lui il est génial. Il me comprend et il m'écoute. Il m'a juste dit … '' Amuse toi mais vas y doucement tout de même '' … Il m'a souvent donné l'impression d'être plus jeune que mon père et c'est toujours lui qui a le dernier mot de toutes façons … Quelquefois j'ai l'impression que mon père n'a jamais été jeune mais que mon grand père lui le restera toujours ! Pourtant il à quatre vingt ans !

Je levais mon verre à la santé de mon grand père et on commandait …

Moi : Lâchez-vous les mecs, c'est mon Grand Père qui régale, faites vous plaisir.



C'est vrai qu'on à mis un peu le bordel dans le resto mais pour ne vexer personne il suffisait d'offrir quelques verres aux autres clients … Rapidement il y avait des bouteilles de champagne à toutes les tables. Le patron avait un sourire qui allait d'une oreille à l'autre … Il devinait que la note serait salée. Mais la carte de crédit que j'ai ne connaît pas de limite … On ressortait deux heures plus tard, on avait foutu la pagaille mais les autres clients étaient ravis, mes amis étaient repus, le patron était riche … Enfin un peu plus qu'avant mon arrivée !

Je ne vous cacherais pas que je ne sais même pas combien ça a coûté au resto. On a fait ensuite une virée dans cette magnifique maison … Mais quand je dis magnifique … Discrète surtout, très discrète … Il n'y avait pas d'enseigne, pour entrer il fallait frapper et montrer patte blanche. Devinez ce que j'ai montré … Oué ! Gagné ! J'ai montré ma carte de crédit. Après le contrôle habituel nous étions traités comme des princes …

Je laissais à chacun le libre choix presque la moitié de mes copains avait choisi une fille … Le choix était large et de bonne qualité … L'autre moitié avait choisi un mec. Moi, le plus gourmand, j'avais choisi sur mensurations … Ce sont les vingt trois centimètres qui m'avait fait craqué … En plus c'était un black !

Je ne l'avais même pas vu avant d'arriver dans la chambre. La gueule, la silhouette, les muscles tu t'en moques dans cette maison ! Elle a une très grande réputation et on n'y trouve QUE de la qualité, toujours des corps superbes, de très belles gueules, pas de vulgarité ( sauf bien sûr si le client le demande une fois dans la chambre ). Franchement je ne sais pas ou ils trouvent leurs Hôtes ( c'est comme ça qu'il faut les appeler ) mais je n'avais jamais vu autant de beaux mec ensemble … Et tous disponibles, c'était pas un tarif unique mais comme vous le savez, le prix …

Je m'installais, jetais mes vêtements dans un coin et m'enfonçais mollement dans le lit, j'avais demandé un lit très moelleux et c'était délire, j'avais jamais vu un lit aussi '' moelleux '' je m'enfonçais tellement que je me demandais si j'aurais pied.
Je bandais comme un malade, comme si je ne m'était pas branlé depuis le matin … Et c'était le cas !

C'est à ce moment que mon '' hôte '' entrait, en général on dit pute mais comme je vous l'ai dit … Pas de vulgarité … Et il était tout, sauf vulgaire !

Un pantalon très bien ajusté qui cachait presque tout et laissait supposer le meilleur, des souliers vernis, une chemise blanche parfaitement ajustée, qui ne cachait pas la tablette de chocolat ( en plus il était black ), on voyait parfaitement aussi les biceps, triceps, couadriceps et j'étais prêt à en compter plus même … Son visage était doux et viril et il me lançait un sourire éclatant. D'un coup mon cœur battait fort, je ne bougeais plus. La réputation de cette maison n'était pas exagérée et la directrice qui m'avait aidé à faire mon choix n'avait pas menti … Il était d'une beauté qui me laissait sans voix. Il avait emmené le seau à champagne et deux verres.

Je le regardais, je ne parvenais plus à réagir, il était bien plus vieux que moi. Mais c'est vrai que je suis très jeune. Il ne devait pas être loin de la trentaine, le plus bel âge, toutes les marques de la maturité et aucune de la vieillesse. Quand je pense que certains se disent qu'on est vieux à trente ans. Mon hôte était le plus bel homme que j'avais vu. Il me souriait et s'approchait du lit !

Lui : Et bien tu es un rapide toi. Tu as des préférences ? …
Moi : Euh ! Oui ? Je ! …
Lui : Je prends la direction des opération.

Il me tendait la main, je l'attrapais. Il me tirait alors fermement contre lui, je me relevais et il me recevait dans ses bras. Il m'enlaçait avec douceur et m'embrassait avec passion. Je le serrais dans mes bras et déjà je frémissais de désir. Je m'étais déjà bien amusé avec des copains de mon âge, mais là c'était pas pareil ! Là, c'était un homme, un vrai … En plus il était terriblement beau. Je sentais ses muscles qui me tenaient avec force. Moi aussi je suis musclé, le sport, c'est une tradition dans notre famille.
Dans sa famille aussi ça devait être comme ça , son corps était ferme, fort et doux …

Il m'entraînait dans un mouvement de danse, je le suivais sans rien dire, j'étais comme en état second. Ses yeux noirs et brillants, son sourire éblouissant et ce visage doux. Un musique se faisait entendre … ? … Je suis pas dans un film là moi ? Dans un rêve peut être. Un court instant je planait complètement, ensuite je réalisais que cette peau, cette peau avec un grain si doux c'était pas un rêve. Je l'embrassais avec passion et il guidait mes mains vers son torse, je les glissais sous sa chemise, il était doux, ferme et musclé de partout.

Sa chemise tombait sur le sol et je couvrais son corps de baisers, il me laissait ouvrir son pantalon qui aussitôt tombait sur ses pieds. Il retirait ses chaussures d'un mouvement des pieds, le pantalon se retrouvait un peu plus loin aussi. On m'avait promis du vingt trois centimètres et je peux vous garantir qu'ils y étaient !

Il m'entraînait dans une danse suivie d'une pause pour me servir un verre et s'en servir un fond, encore quelques tours de danse, j'avais le vertige, Il m'entraînait dans la salle de bain, faisait couler un bain et se glissait avec moi dans la baignoire. Il prenait son temps … Ici on ne compte pas à la demie heure, le client peut rester la nuit entière s'il le désire, on avait tout le temps …

Pendant un long moment qui semblait ne jamais finir ce n'était plus que douceur, caresses, baisers, câlin … Mes mains se promenaient sur tout son corps, partout sa peau avait la même douceur, je ne me retenais pas de l'embrasser. Il me caressait lui aussi partout sur mon corps, depuis les épaules jusqu'aux jambes. Il insistait imperceptiblement sur les parties les plus sensibles, mes tétons, il m'embrassait sur le ventre alors que ses mains me massaient les hanches. Il s'était placé derrière moi, sa queue passait entre mes cuisses et se glissait juste sous mes testicules qu'elle soulevait.
Je me caressait le sexe en insistant sur mes couilles, en insistant sur l’extrémité de sa queue. Il glissait ses mains sur ma queue qu'il massait avec beaucoup de douceur, il me savonnait et en profitait pour me faire une toilette totale et très intime … Je m'abandonnais totalement dans ses bras.

Ce que je découvrais là n'avait rien à voir avec les petits plaisir que j'avais déjà partagé avec mes copains, c'était une vraie découvertes. J'ai toujours été fan de cette couleur de peau depuis ce soir là … C'est vrai que pour une initiation, une vrai initiation, j'avais un professeur de tout premier plan.

Avec mes copain on s'était déjà donné du plaisir, on s'était amusé. La je jouais dans la cour des grands. On sortait finalement de la salle de bain, nos deux corps ne voulaient pas se séparer, chacun caressait l'autre avec la serviette de bain, le séchait, posait sa bouche sur sa peau, sur ses lèvres pour se retrouver entièrement nus collé l'un à l'autre.

Je m'enfonçais à nouveau dans ce lit moelleux et profond quand d'un geste vif il me repoussait, il tombait sur moi et je le recevais dans mes bras. On roulait l'un sur l'autre, on se mélangeait. On commençait par les bras par moment je ne savais plus à qui de nous deux était la main là, ah si, la mienne n'était pas de la même couleur que la sienne, et j'en profitait pour lui donner un baiser, quand c'était la sienne …

Il me couvrait de baisers, d'abord sur la bouche, puis dans le cou, puis sur les épaules, il descendait ensuite vers mes tétons, mon torse, mon nombril et je frémissais et tremblais quand il arrivait à ma queue. Il la prenait en entier dans sa bouche, pourtant je suis plutôt bien monté, il n'avait aucune difficulté pour me gober la queue sur toute sa longueur. Il savait vraiment y faire le gars, aucun de mes copains ne m'avait jamais fait autant d'effet. Je soupirais longuement et gémissais de plaisir.

Il me caressait les cuisses, me massait les couilles. Il savait doser la fermeté et la douceur, c'était tout simplement divin, je fermais les yeux et me laissais aller à mon plaisir …

Un peu plus tard je décidais d'inverser les rôles, je le retournais sur le dos et c'est moi qui parcourais son corps avec mes mains et ma bouche. Sa peau était vraiment douce, elle prenait bien la lumière. On avait laissé la lumière allumé, je ne voulais rien louper … Il était vraiment trop beau … Quand j'arrivais à sa queue, je l'admirais un moment puis passait ma langue sur son gland …

Moi : Apprend moi à faire ça bien !

Je lui gobais ensuite la queue d'un coup .

Lui : Vas y doucement, là c'est trop brutal …


Je continuais en essayant de suivre son conseil ! Il se contractait.

Lui : Ouvre bien la bouche et surtout fait très attention, on ne dois surtout pas sentir tes dents …

J'essayais d'ouvrir encore plus grand ma bouche, jusqu'à m'en déboîter la mâchoire …

Lui : Referme les lèvres sur tes dents de devant …

C'est pas si facile de bien sucer un mec. Peut être que les vingt trois centimètres sur plus de cinq ça ne m'aidait pas vraiment. Je ne commençais pas vraiment avec le plus simple ! Mais on est comme ça dans la famille, on aime bien les défis. Il me laissait faire un moment mais je sentais à ses réactions que je ne devais pas être au point.

Au bout d'un moment il me relevais la tête pour m'embrasser …

Moi : Je suis si mauvais que ça ?
Lui : Disons qu'il y a encore du travail. Mais c'est pas non plus facile avec un truc aussi gros que le mien …

Il me faisait un grand sourire, me retournait sur le dos …

Lui : Tu veux me prendre ?

Je faisais oui de la tête … Il s'allongeait alors à côté de moi, me caressait avec tout son corps en se retournant. Je suivais le mouvement, il se retrouvait allongé sur le dos et moi allongé sur lui …

Il écartait les cuisses, je bandais ferme, j'avais l'impression de n'avoir jamais bandé aussi fort. Je me mettais en position, une bonne dose de gel et j'enfonçais ma queue dans son cul. C'était magique de voir mon membre blanc et rose disparaître entre ses fesses d'un marron foncé.

Ma queue entrait doucement, la dernière fois ( et la première aussi ) le mec avait hurlé de douleur et m'avait demandé d'arrêter mais là, il semblait se détendre, c'était bon, pour lui aussi je veux dire. C'était même très bon. J'aimais et il aimait aussi.

Je le limais ainsi un long moment ! Il gémissait, moi aussi je respirais fort ! Je finissais par me laisser tomber sur lui, je respirais fort, je l'embrassais sur les épaules, dans le coup et dans le dos, tout en haut du dos. Il tremblait, ce contact, cette chaleur me faisait vibrer de plaisir. Je n'avais pas joui mais c'était bon, j'étais bien …

C'est à cet instant que la porte s'ouvrait avec une extrême violence, des hurlement se faisaient entendre … C'était notre hôtesse qui hurlait ( la patronne de la maison ).

'' Vous n'avez pas le droit, ici c'est une maison convenable, j'ai une licence en règle … ''
'' La ferme !''
'' Je vous préviens je connais très bien le gouverneur et plusieurs de ses adjoints ! ''
'' La ferme je te dis ou je t'en colle une ''

Je reconnaissait la voix ! C'était un des gardes du corps de mon père ! Deux homme bâtis comme des armoire à glace faisaient éruption dans la chambre.

'' Et bien Philippe, j'ai comme l'impression que ton père va beaucoup apprécier !'' .

A l'intention de mon amant d'un soir …

'' Toi tu ferais mieux de te rhabiller ! ''

Il voulait protester …

'' Vas y mon bonhomme, ça me ferait plaisir de te casser le nez. Tu sais quel âge il a ton client ? '' … '' Et bien non, il n'a que dix sept ans, aussi vous feriez mieux de ne pas en rajouter tous si vous ne voulez pas que le père de ce gamin ne fasse fermer votre bordel ! ''

Moins d'un quart d'heure plus tard on se retrouvait tous les douze dans le hall d'entrée. Mes camarades n'osaient plus bouger mais moi je les connaissais bien les gardes du corps de mon père et je faisais front face à leur chef …

Moi : Je ne vous suivrais pas, tu n'as pas le droit de faire ça et je te préviens que ça ne se passera …

Il me balançait une gifle comme je ne m'en était jamais pris. J'étais sonné, j'ai vu des étoiles je vous jure, et pendant au moins cinq minutes j'étais sourd de l'oreille gauche ! Je peux vous garantir qu’après ça je ne bougeais plus une oreille. Mes camarades n'en menaient pas large. Eux ils ne connaissaient pas les gardes, ou à peine, ils les avaient déjà rencontrés à la maison mais c'est tout …

Moi j'avais du mal à savoir si j'étais en colère ou seulement vexé. Les deux peut être … Mais j'étais décidé à ne pas laisser les choses là ou elles étaient !

La tête basse, la queue entre les jambes comme on dit, nous sortions à la queue leu leu de cette maison. Les gardes étaient venus en nombre, ils étaient dix, je peux vous garantir que ça impressionne. Ils nous faisaient monter dans les voitures et nous raccompagnaient tous, ils connaissaient tous mes amis et savaient ou ils vivaient.

A la maison il y avait encore de la lumière dans le salon. Mon père était debout devant la cheminée, il y avait un feux réconfortant et une douce chaleur. L’atmosphère semblait paisible s'il n'y avait pas eu le regard sombre de mon père.

Père : J'en apprend de belle !
Moi : Mais papa, on ne faisait rien de mal !
Père : Tu étais dans un bordel de luxe ! UN BORDEL ! ( il prononçait ce mot en hurlant ) et tu n'as que dix sept ans … Mais qu'est ce qui t'a pris …

Vers le chef des gardes.

Père : Pas de problème ?
Le garde : Non Monsieur . Personne n'a osé résister Monsieur !
Moi : Il m'a frappé papa . Ça c'est pas normal, j'exige que …
Père : ( en hurlant ) La ferme ! ( puis vers le garde ) C'est exact ?

Visiblement embarrassé, la tête penchée en avant, les yeux fixé vers le sol. Je jubilais, j'allais être vengé !

Le garde : C'est exact Monsieur !

Je gueulais !

Moi : Tu vois, je te l'avais bien dit ! Il m'a frappé papa. Je veux que tu le vire immédiatement sinon …
Père : Sinon … Sinon quoi ! Toi tu la fermes et tu ne parles que quand je t'en donnerai l'autorisation ! C'est compris ? ( En hurlant ) …

Mon père reprenait sur un ton plus calme mais visiblement agacé ! Je savais que j'avais gagné et je regardais le garde d'un air méchant, il n'osait plus me regarder. Je savourais ma vengeance.

Père : Pourrais tu me raconter comment ça c'est passé quand tu as frappé mon fils …

Le garde lui racontait en détails sans rien oublier.

Moi : ( en hurlant ) Tu vois ! Il m'a frappé, je veux que tu le vire tout de suite, j'ai le droit de porter plainte si je veux !

Mon père glissait quelques mots à son garde, je n'entendais pas et se dirigeait vers la cheminée. Ensuite, je sais maintenant je n'aurais pas du, je me plaçais devant le garde et commençais à l'engueuler.

Moi : Tu vas te faire virer connard …

Le garde jetais un œil vers mon père qui lui répondait par un léger mouvement de la tête. Le garde me balançait alors une nouvelle gifle aussi violente que la première avant de reprendre sa position un peu penaude, les mains dans le dos.

J'étais sonné. J'étais vexé. Je ne savais plus comment réagir … Hurler, faire une crise de nerf au risque d'en prendre une autre, c'est qu'il frappe fort le garde … je me mettais à pleurer !

Père : Tu arrête ton cinéma ou je t'en colle une à mon tour. Une gifle à droite et maintenant une à gauche, tes joues ne seront plus jalouses l'une de l'autre …

Je bafouillais … '' La première aussi était à gauche '' Puis je continuais à chialer .

Père : Et alors tu en veux deux à droite pour équilibrer !

Je ne répondais pas, j'avais la tête baissée et ne disais plus rien. Puis toujours en gueulant …

Père : Tu n'as qu'à demander … S'il n'y a que ça pour te faire plaisir …

Je sentais son regard noir posé sur moi, je faisais non de la tête sans oser lever le regard vers lui.

Père : Bon maintenant monte te coucher, tu restes consigné à ta chambre jusqu'à nouvel ordre …

Sans rien dire je fonçais dans ma chambre, toujours en chialant !

A entendre la manière dont mon père parlait à son garde il n'avait de toutes évidences pas l'intention de le sanctionner ...

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